a) O líder petista lembra ao Le Monde que durante seu governo foram criados fundos, financiados pela Alemanha e a Noruega, para proteger a floresta, além de 144 zonas naturais protegidas, permitindo diminuir o desmatamento ilegal. |
O fragmento não foi localizado no TF
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b) Já o ministro da Educação, Ricardo Vélez Rodriguez, prometeu lutar contra o pseudomarxismo nas escolas, lembrou Le Monde . |
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c) Os pesquisadores lembram que a cada tentativa de reação por meio de vias legais, o governo faz novas ameaças de impor uma ditadura. |
[…] Mais cette description passe à côté de l’essentiel : Jair Bolsonaro n’est pas tant fragilisé que poussé à une fuite en avant pouvant mener à l’instauration d’un régime autoritaire. Appuyé par la majorité des états-majors militaires et par un secteur fanatisé de l’opinion, soutenu par les églises évangéliques les plus réactionnaires, le président brésilien s’apprête à détruire la Nouvelle République, née en 1988 des ruines de la dictature militaire. Et ce, dans la plus grande indifférence de la communauté internationale. [...] |
d) A reportagem lembra que a tragédia de 25 de janeiro, que deixou mais de 150 mortos, foi um “drama humano, social e ecológico”, que aconteceu pouco mais de três anos após um outro desastre similar, quando a cidade de Mariana viu desmoronar a barragem da Samarco, empresa gerada pela Vale e pela BHP Billinton. |
[…] Sous le choc, les habitants, relogés dans des gymnases ou chez des proches, attendent de savoir de quoi demain sera fait, tremblants à l’idée d’avoir échappé à une tragédie similaire à la catastrophe de Brumadinho () : la rupture d’un barrage désactivé de Vale contenant 12,7 millions de m3 de déchets miniers a provoqué un tsunami de boue, le 25 janvier, faisant, à ce jour, 157 morts et 182 disparus. Un drame humain, social et écologique survenu un peu plus de trois ans après le désastre de Mariana (Minas Gerais), où un barrage de Samarco, société commune entre Vale et BHP Billiton, retenant quatre fois plus de déchets, avait dévasté, sur 650 kilomètres, le fleuve rio Doce faisant 19 morts et des dommages environnementaux inestimables. […] |
e) Eles lembram que Bolsonaro é apoiado por militantes “fanáticos” que realizam nas redes sociais uma campanha em prol de uma intervenção militar. |
[…] Accusé d’avoir fait le ménage à la tête de la police pour préserver d’éventuelles poursuites sa famille, proche des milices mafieuses de Rio de Janeiro, il a multiplié les provocations contre la Cour suprême et appuyé les manifestants réclamant sa fermeture pure et simple. Brésil, un Etat fortement militarisé À cela s’ajoute une intense campagne sur les réseaux sociaux, portée par un hashtag aussi long qu’explicite : #intervençaomilitarcombolsonaronopoder (intervention militaire avec Bolsonaro au pouvoir). Cette « intervention militaire » n’est pas un simple épouvantail. Sa perspective est désormais agitée quotidiennement, non seulement par des manifestants et sur les réseaux d’extrême droite, mais par des membres du gouvernement et, le 28 mai, par Bolsonaro lui-même. Pour la justifier, ses proches invoquent un article de la Constitution qui autorise les forces armées à agir pour le « maintien de la loi et de l’ordre » si elles y sont appelées par « n’importe lequel des pouvoirs constitutionnels » . […] |